"Non merci ! Les politiques, tous les mêmes : des menteurs !" Réflexions de défiance, regards indifférents ou méfiants… Ambiance, mercredi 1er juin 2022, dans les rues de Vatan pour Alexandra Botton et Frédéric Perraud. La candidate du Mouvement de la ruralité (LMR), ex-CPNT (Chasse, pêche, nature et traditions) dans la deuxième circonscription de l’Indre et son suppléant ont choisi de se retrouver dans cette commune nord-indrienne, après la fin de leurs journées de travail, pour aller à la rencontre des habitants.
Même s’ils n’habitent pas loin (Neuvy-Pailloux pour elle, Meunet-sur-Vatan pour lui), la tâche s’avère compliquée. Il y a bien un attroupement de boulistes place de la Liberté, mais pas question de s’en approcher : "On ne veut pas déranger les gens pendant leurs loisirs." Reste donc le "boîtage"… du moins, pour les boîtes aux lettres qui n’affichent pas d’autocollant "Stop pub".
Pas question non plus de dilapider les quelques tracts en sa possession. "On est le parti du bon sens", clame la candidate, qui a choisi d’organiser rationnellement sa toute première campagne, avec un budget très limité. "Il y a 279 panneaux d’affichage électoral dans la circonscription, mais on a fait le choix de ne commander que 150 affiches, qu’on va placer dans les plus petites communes. Ce n’est pas dans les grandes villes qu’on va faire le plus de voix…"
De même, pas de réunions publiques ou de meetings au programme : "Les gens sont lassés de ce format-là ; on veut capter ceux qui ne s’y retrouvent pas, donc on mise sur du tractage en porte-à-porte pour aller à leur rencontre."
"Non merci ! Les politiques, tous les mêmes : des menteurs !" Réflexions de défiance, regards indifférents ou méfiants… Ambiance, mercredi 1er juin 2022, dans les rues de Vatan pour Alexandra Botton et Frédéric Perraud. La candidate du Mouvement de la ruralité (LMR), ex-CPNT (Chasse, pêche, nature et traditions) dans la deuxième circonscription de l’Indre et son suppléant ont choisi de se retrouver dans cette commune nord-indrienne, après la fin de leurs journées de travail, pour aller à la rencontre des habitants.
Même s’ils n’habitent pas loin (Neuvy-Pailloux pour elle, Meunet-sur-Vatan pour lui), la tâche s’avère compliquée. Il y a bien un attroupement de boulistes place de la Liberté, mais pas question de s’en approcher : "On ne veut pas déranger les gens pendant leurs loisirs." Reste donc le "boîtage"… du moins, pour les boîtes aux lettres qui n’affichent pas d’autocollant "Stop pub".
Pas question non plus de dilapider les quelques tracts en sa possession. "On est le parti du bon sens", clame la candidate, qui a choisi d’organiser rationnellement sa toute première campagne, avec un budget très limité. "Il y a 279 panneaux d’affichage électoral dans la circonscription, mais on a fait le choix de ne commander que 150 affiches, qu’on va placer dans les plus petites communes. Ce n’est pas dans les grandes villes qu’on va faire le plus de voix…"
De même, pas de réunions publiques ou de meetings au programme : "Les gens sont lassés de ce format-là ; on veut capter ceux qui ne s’y retrouvent pas, donc on mise sur du tractage en porte-à-porte pour aller à leur rencontre."
article de La Nouvelle République 09/06/2022